Vous allez ADORER !!!!!

Le 15 septembre, on comptait 2 112 radars en fonctionnement (deux tiers fixes, un tiers mobiles). Et 500 nouvelles machines, de plus en plus perfectionnées, devraient être déployées chaque année jusqu'en 2012 pour atteindre l'objectif de moins de 3 000 morts sur les routes d'ici à la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy.

En 1960, le nombre de morts dépassait les 8 000. En 2007, on dénombrait 4 615 victimes. Entre 2001 et 2007, la France a enregistré une baisse de 43 % des décès sur les routes. Sur la même période dans l'Union européenne, la diminution n'a été que de 21 %.



DISTANCE DE SÉCURITÉ
Au premier trimestre 2009, les premiers radars feux rouges seront mis en service. Ce dispositif, sanctionnant les "brûleurs" de feux, coûte plus cher (106 000 euros) qu'une cabine-radar (70 000 euros), mais devrait rapidement prouver son efficacité, avec notamment deux photos prises à chaque flash. 275 appareils seront progressivement installés. Chaque conducteur ayant grillé un feu sera sanctionné de 135 euros et d'un retrait de quatre points sur son permis.[

Autre nouveauté, annoncée pour la fin 2009 : la mise en place d'une vingtaine de radars de contrôle inter-distance, capables de mesurer le respect de la distance de sécurité entre deux véhicules dans les tunnels.


Dans un entretien accordé à l'AFP, Michèle Merli, déléguée interministérielle à la Sécurité routière, a estimé entre 10 000 et 11 000 le nombre de vies épargnées grâce aux radars. "De 2003 à 2007, il y a une baisse moyenne de la vitesse de 10 km/h et de 43 % du nombre de morts sur les routes. La vitesse réduite est un gain de sécurité majeur."
En 2008, 26,4 % des clichés pris par les radars concernaient des véhicules immatriculés à l'étranger. La plupart de leurs conducteurs échappent encore aux sanctions. Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat chargé des transports, travaille à une directive permettant les échanges d'informations entre tous les pays de l'Union européenne pour poursuivre les contrevenants dans leur pays.

Source le Monde 17/11/08 Alain Constant

mais on adore